Dans le Haut-Rhin, les pompes funèbres à l'épreuve du flot de décès
(AFP)
Après 35 ans de métier dans les pompes funèbres, Christophe Lantz "pensait être bien endurci", mais "trop c'est trop", souffle ce gérant d'une entreprise de Mulhouse, submergée par la prise en charge des morts du coronavirus.
"On court du matin au soir, on travaille à un rythme effréné",...